Un garde s'en va , sa pique dans la main , le ton très personnelle de la Dame à la herse lui font comprendre deux choses.
Le ton familier de la Dame et qu'elle ne désire pas trop attendre.Sa patience n'est pas son fort.
Alors le brave soldat s'en va , la queue entre les jambes, la pique au bout de sa main , le fer vers le ciel mais le bois tapant sur le sol.
Signe évident que le ton de la Dame l'est perturbé.Au point qu'il en déserte son poste.
C'est front baisser donc qu'il rencontre à peine avoir quitter son endroit, qu'il vient à croisé son chef le Commandant de cet endroit.
Ben oui si les Capitaines changent seuls demeurent les cadres jusqu'au jour ou à la différence des autres ils démissionnent et s'en vont ailleurs.
Mais ce jour là manque de pot pour la noble Dame, Fabrizio a entendu ses propos,bon faut dire que la cour est certaine grande mais que les murs renvoient bien les échos des paroles.
Et c'est familiarité de la Dame qui déplait au Commandant.
C'est d'un bras énergique que le commandant stoppe net le soldat et s'enquit de savoir pourquoi il déserte son poste.
Le lourdier lui répond et Fabrizio détaille la dite Dame pas loin de lui mais donc il fait face.
Là elle a fait fort , le mettre en colère dès sa venue.
Fabrizio d'un pas sûr va vers la dame qui fait les cent pas et se posant pas loin d'elle lui dit d'un ton froid et ne voulant point qu'on le contre dise.
Le bonjour Noble Dame...
Veuillez le donner vos raisons de vostre venue ici lieu.
De vous présentez au mieux de vostre état.
Et d'avoir envers la piétaille respect car ici je ne tolère qu'une chose.
Les grades et non cette familiarité, ce tutoiement qui ne sied à une aussi noble Dame que vous.
C'est face à elle ,ses bras croisés devant qu'il attend que la dite Dame reprenne sa patience et ses esprits.
Ici nous sommes dans un Ost et non chez la mère Trucmuche.